Connaissez-vous les pires voitures fabriquées au Brésil ? Eh bien, aujourd’hui, vous allez découvrir quels véhicules n’ont pas rencontré le succès auprès du public !

Peu de gens le savent, mais de nombreuses voitures ont été fabriquées ici, et les résultats n'ont pas toujours été à la hauteur. Une bonne partie des modèles produits localement ont essuyé de vives critiques, et certains ont même été abandonnés.

Nous avons donc préparé pour vous une liste très dynamique des 22 pires voitures jamais fabriquées au Brésil. Jetez-y un œil ci-dessous — il y a même une voiture brésilienne dans la liste — et voyons ensemble quelles sont les pires voitures jamais produites dans ce pays.

Nous commençons donc notre liste avec la Fiat Marea, une voiture délabrée, loin d'être économique et source de nombreux soucis pour ses propriétaires. Ce modèle Fiat a été retiré du marché il y a plus de dix ans, sans jamais rencontrer le succès escompté ni réaliser de bonnes ventes depuis son lancement.

Certains la qualifiaient de « voiture à problèmes », car il fallait remplacer entièrement son moteur en cas de rupture de la courroie de distribution. Sans aucun doute, la Fiat Marea fut l'une des pires voitures jamais fabriquées au Brésil.

La Seat Córdoba, fabriquée par le constructeur espagnol Seat, figure dans notre liste en raison de problèmes liés à sa structure et à ses performances. Parmi les principaux défauts de la Seat Córdoba, qui en ont fait l'une des pires voitures produites au Brésil, on peut citer le prix des pièces détachées et le service après-vente, qui rendaient les coûts d'entretien prohibitifs.

Ce modèle Volkswagen peine à trouver sa place sur le marché. La Jetta 2.0 affiche un rapport qualité-prix comparable à celui de voitures haut de gamme comme la Honda Civic.

Elle n'est pas très économique, avec une consommation de seulement 7 km/litre en ville, et même s'il s'agit d'un moteur 2.0, sa puissance de 120 ch est inférieure à celle de nombreuses voitures équipées de moteurs 1.6 ou même 1.0.

La Fiat Freemont avait initialement une proposition très intéressante, mais la voiture présente un rapport coût-bénéfice déplorable et de faibles performances.

Avec sa boîte automatique à seulement 4 rapports, la puissance délivrée à très haut régime se traduit par des performances très faibles. De ce fait, la Fiat Freemont figure parmi les pires voitures fabriquées au Brésil.

Gurgel Motors S/A était un constructeur automobile brésilien, mais il a fait faillite faute d'incitations gouvernementales et en raison d'une fiscalité élevée. Son modèle BR-800 a connu un franc succès, remportant même un prix européen et rivalisant directement avec des concurrents du même segment, comme la Fiat Uno de l'époque.

Cependant, les autres modèles Gurgel laissaient à désirer. La Jeep Tocantis, par exemple, atteignait une vitesse de pointe de 117 km/h et ses performances étaient déplorables : elle mettait 25 secondes pour atteindre 100 km/h et ne développait qu’une puissance ridicule de 50 ch.

Compte tenu des modèles de Gurgel et de leur échec commercial, leurs voitures se retrouvent sur la liste des pires voitures fabriquées au Brésil.

Nous insistons toujours sur le fait que le constructeur automobile français Citroën considère la technologie comme l'un de ses atouts majeurs sur le marché. Même il y a quelques décennies, la Xantia était une voiture très sophistiquée pour son époque, et même abordable.

Mais ce qui en fait l'une des pires voitures fabriquées au Brésil, c'est son entretien difficile et, curieusement, coûteux, qui a donné du fil à retordre à de nombreux conducteurs.

Le Chevrolet Blazer est très différent de ce que GM nous a l'habitude de proposer. L'une des principales raisons qui font de ce modèle l'une des pires voitures fabriquées au Brésil est sa faible consommation de carburant.

Un autre facteur ayant contribué à rendre la voiture insatisfaisante est son prix, qui, comparé à d'autres modèles dans la même gamme de prix, rend beaucoup plus intéressant d'envisager la concurrence.

Ce véhicule est tellement défectueux qu'il a déjà fait l'objet de l'un des pires rappels de l'histoire. Le Troller Pantanal a été lancé au Brésil en 2006 et sa production a cessé en 2008, lorsque Ford a racheté Troller. En deux ans, seulement 77 exemplaires ont été vendus.

Outre le rappel imposé en raison de dommages inacceptables, ce véhicule présentait des caractéristiques techniques déplorables. Sa production a donc été arrêtée et il est devenu l'une des pires voitures fabriquées au Brésil ces dernières années.

La Veloster, le modèle sportif de Hyundai, a déjà essuyé de vives critiques. Pourtant, la voiture est magnifique, notamment grâce à ses finitions extérieures.

Cependant, lorsqu'on parle d'une voiture de sport, il est difficile de croire que son moteur ne développe que 108 chevaux. C'est un moteur inférieur à celui de nombreuses voitures populaires, et même si c'est une voiture tape-à-l'œil, elle reste l'une des pires voitures fabriquées au Brésil.

La Mondeo était une proposition formidable de Ford ; elle avait une chance de rivaliser directement avec les principaux concurrents de l'époque, tels que la Volkswagen Gol, qui avait conquis le cœur du public.

La Mondeo possédait des caractéristiques qui en faisaient une excellente voiture, mais Ford l'a positionnée dans une catégorie d'acheteurs haut de gamme, augmentant ainsi son prix et tentant de rivaliser avec les concurrentes de taille de l'époque, telles que la GM Omega.

Mais le résultat fut un échec commercial, et la voiture finit par disparaître.

Le Kia Carnival est une bonne option, mais pas adaptée au Brésil. Sa longueur est inadaptée aux routes du pays.

Mais l'une des principales raisons pour lesquelles la Kia Carnival est l'une des pires voitures fabriquées au Brésil est son coût global, qui est assez élevé, et si une pièce tombe en panne, en plus de la dépréciation immédiate, le coût sera très élevé, supérieur à la normale.

Lorsqu'un sujet se propage d'une personne à l'autre, il finit par atteindre tout le monde. Et si ce sujet est négatif, les chances de le maîtriser sont pratiquement nulles.

Et c'est ce qui est arrivé à la pauvre Dodge Polara au Brésil ; la voiture, lancée en 1976, avait une boîte de vitesses fragile, un mauvais moteur, un entretien inefficace et des freins défectueux.

Les Brésiliens ne pardonnent pas ; une fois que le public a émis un avis négatif, il n'y a pas de retour en arrière. Chrysler n'a pas tardé à se retirer du Brésil.

La Lada Laïka avait un design excellent, mais elle n'a pas été bien adaptée au marché brésilien. Ce fut un échec commercial national, car elle ne pouvait pas fonctionner avec l'essence nationale, qui contient 251,3 T d'alcool dilué.

Un autre facteur qui fait de la Lada Laika l'une des pires voitures fabriquées au Brésil est son coût d'entretien très élevé, même si la voiture était relativement peu coûteuse.

La Fiat Brava est dérivée de la Marea, qui jouit d'une très mauvaise réputation sur le marché. Ceci explique en partie pourquoi elle est considérée comme l'une des pires voitures jamais fabriquées au Brésil : sa dépréciation due à la mauvaise réputation de son prédécesseur.

La suspension est un autre facteur source de plaintes, tout comme la faiblesse du moteur et les difficultés à trouver des pièces détachées, ce qui explique pourquoi il est assez rare de voir une Brava sur les routes nationales de nos jours.

L'une des premières marques coréennes à tenter de s'implanter sur le marché brésilien fut Daewoo, dont le principal modèle était l'Espero.

La concurrence était féroce, avec des voitures comme l'Omega et la Vectra, ce qui a entraîné de faibles ventes et en a fait l'une des pires voitures jamais fabriquées au Brésil.

Le Courier était un excellent pick-up proposé par Ford, essentiellement une Fiesta avec une benne. Il était assez compact pour transporter des charges lourdes, contrairement à d'autres pick-ups. Des caractéristiques peu attrayantes qui ont freiné les ventes.

La Courier fut un échec retentissant et il est devenu assez rare de la voir sur les routes de nos jours ; elle est devenue l'une des pires voitures jamais fabriquées au Brésil.

À son arrivée sur le marché brésilien, les consommateurs étaient hésitants ; c’était un gros SUV robuste, idéal pour les familles et les travaux lourds. Mais le Veraneio était principalement destiné aux militaires, devenant d’abord une fourgonnette de police, puis rapidement une ambulance.

Il était assez rare de voir un consommateur moyen posséder une Veraneio ; peu à peu, elle a disparu et est devenue l'une des pires voitures fabriquées au Brésil.

Il s'agit d'un des rares modèles issus d'un partenariat entre deux constructeurs automobiles. En l'occurrence, Ford et Volkswagen, l'objectif était d'accroître sa notoriété et de se démarquer de la concurrence.

L'Autolatina s'est forgée une réputation de « voiture d'atelier », et le grand public la considérait comme une plaisanterie. Cela a nui à l'image de Volkswagen au Brésil, faisant d'elle l'une des pires voitures jamais produites dans ce pays.

Il est difficile de rivaliser sur le segment des petites camionnettes lorsque les Chevrolet Montana, Volkswagen Saveiro et Fiat Strada dominent le marché.

Le constructeur automobile français a tenté de s'implanter sur ce segment avec le modèle Hoggar, doté d'un moteur de 1,4 litre que beaucoup considéraient comme assez faible, consommant beaucoup de carburant et offrant de mauvaises performances même sur routes désertes.

Normalement, ces petites camionnettes sont utilisées pour le travail, mais une Peugeot Hoggar chargée rend leurs performances encore pires.

Elle consomme plus de carburant que la normale, ce qui est déjà beaucoup, et cause bien des soucis au conducteur ; c'est pourquoi elle est devenue l'une des pires voitures jamais fabriquées au Brésil.

La Variant II n'a pas rencontré le succès escompté auprès du public brésilien, étant considérée comme l'une des pires voitures jamais produites. Fabriquée par Volkswagen, elle était dotée d'un moteur très médiocre et de performances déplorables.

Il n'est pas surprenant qu'au Brésil, ce véhicule n'ait pas rencontré un grand succès, ni auprès du grand public, ni au niveau des ventes, qui furent un échec total.

En termes d'évolution, l'Oggi a pris du retard et est restée figée dans le temps, devenant l'une des pires voitures jamais produites au Brésil. La transmission est l'un des principaux reproches formulés par les propriétaires actuels et anciens de l'Oggi. Ils affirment également que le bruit de l'échappement est insupportable.

L'habitacle de cette voiture est très étroit, ce qui est particulièrement problématique pour les familles. Malgré une consommation de carburant raisonnable, le véhicule offre des performances déplorables et déstabilise le conducteur, causant de sérieux soucis à son propriétaire.

Au départ, ce véhicule Volkswagen est rapidement devenu la risée du pays, héritant du surnom de « Zé do Caixão » (Joe le Cercueil). De plus, la Volkswagen 1600 fut un échec commercial au Brésil et est aujourd'hui considérée comme l'une des pires voitures jamais produites dans ce pays.

Sa mécanique est similaire à celle de la Coccinelle, avec un moteur arrière de 1,6 litre refroidi par air produisant 50 ch et 11 kgfm de couple, associé à une transmission manuelle à quatre vitesses.

En bref, ses performances furent catastrophiques ; elle devint une simple voiture de plus dans le musée des véhicules qui n'ont pas rencontré le succès sur le marché national.

Comme nous l'avons vu, les voitures ne rencontrent pas toujours le succès escompté lors de leur lancement sur le marché, n'est-ce pas ? Et si vous souhaitez en savoir plus sur le monde automobile, consultez nos recommandations ci-dessous !